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pagine di diario, 4

 
a Vacanze in  Sardegna

 A Gregory

 
 

 

 

 

Prima lettera

 

                                              Mantova, 31 Aout

 

Mon cher Gregory,

 

Tu m'as à excuser si je déja t' écris, dans le meme jour que tu viens d' arriver à Maasmechelen et je me retrouve réveille à Mantoue, mais si pour un' urgence qui est inajournable, je sens déjà le besoin de te parler 'écrire,  c'est parce que j'ai dejà tant de choses à te dire, et certaines d'indifferibles, que si tu n'as rien en contraire à que je donne une suite à cette lettre, et à tout ce que tu m'a conces et que nous nous sommes dit en Fertilia, Je dois dejà les echelloner dans plusieurs missives à t'evoier, en esperant que je te communique sois pur toi significative, en t'amusant et en te maitrisant.

Alors avant tout je à te dire peut etre en te surprenant que je suis engagè à t'ecrire, avec aussi d'urgence, parce que il ne sont deux jours que nous sommes laissès, et je suis dèja tout pris dans l' effort de mon etre à ne te perdre à l' interieur de moi, où tu n'est plus qu' un  fantome qui s'est evanoui dans la memoire, et à vaincre la force qui en me t'efface de l'oubli e de le disinteressement, et a rester autrefois fidele à mon affection residuelle pour toi et à le concertement à te tutoyer.

C'est la pure veritè , mon cher Gregory, j' ai perdu tout a fait ton image interieur, je ne te vois plus dans mon imagination, ou ne survivent que tes gest abstraits et les souvenirs des nos mots et de le ton de ton ame que y se reflechissait, j'ai perdu avec desolation chaque vision de ton visage qui m'etait aussi joli et cher, de ton sourire et de ton faire aussi charmant, dans ta politesse avec moi et ta detresse avec le femmes, dans en proces qui etait dejà en acte quand nous étions encore ensemble dans l' Auberge d'Alghero, tandis que dans une sorte de punition affreuse pour avoir ri d'elle en face, dans ma memoire est inoubliable, epouvantable, la grande face de la femme ogresse qui devorait la pizza.

Mais je suis impenitent, mon cher Gregory, et encore en me resouvenat d'elle j'en ris et de nouveau je peux me soulever.

Est ce que quelque chose pourra pour moi " risorgere" de ton image, dans le photos que j'attends comme un miracle de ritirare domani?

J'en suis très douteux, pour la qualitè mecanique inferieure des moyens utilisès, et la fugacitè des circostances dans lequelle j'ai été contraint à te reprendre ou à nous faire reprendre, meme pour eviter de te contrarier .  

Donc si tu accepte que j'ai encore à t'ecrire, que je te sois fidele dans l' espace et le temps au delà de tout, pourrais tu

Donc ce que je te demande, est de mom m' envoyer quelque belle image de toi, qui m'aide a te rappeller et a te revifier de plus en plus en moi?

Je voudrais t'ecrire ensuite, puisque je suppose qui peuve t'interesser, t'aider ou t'amuser, de tout ce qui peut t'interesser de la realitè actuelle et historique de l' Italie, ou des faits du monde, toutes les photos ou les informations ou les videocassettes qui t'interessent, te parler de ma vie scolastique de professeur et de mon train de vie avec mes élèves, et personnelle, aussi comme j'ai interet à apprendre de toi, pour le seul interet qui ai pour ta personne et pour t'aider, de ta vie scolastique d'élève, de tes succes et de tes difficultés,  et des autres problemes personnels des quels tu soit interessé à me parler, sans aucune intention indiscrete bien sur, comme de la realitè de Masmechelen et de la Belgique, et de l'Hollande, ou de la vie et de la façon de vivre de la jeunesse et de la culture de ton pays en general.  

Et comme je t'avai anticipé, je te fairai revivre dans la croniche litteraire, selon mon point de vue, les jours de Fertilia des nos vacances sardes,

*Est ce que j' écris bien en francais, est ce que je fais beaucoup de fautes? Si c'est comme ça, tu dois etre inesorable, dans le faire dans mes lettres des gros signes rouges et bleus et à me donner la note mauvaise mèchante, sur une fotocopie que tu peu m'envoyer.

Aussi, si tu veux tenter de m'écrire en italien , je pourrais faire le meme, avec plus de delicatesse, bien sur, sur chaque effort que tu aies à faire.

Pas des problemes, mon ami flammand, je suis en corrispondence avec un jeun homme tunisien qui m'ecrit en arabo-italien , et si je peut comprendre, bien fatigant dans ses lettres , que quand il m'ecrit de lui faire la faveur de lui envoyer " una maglia con la nemero da dietro 10 da " raod gelide il djocatori da samdoria... ma dal taille "Xl" non come la prima solo "L"", il veut que je lui envoie une maille du  Milan F. C avec le numero 10 qui avait Ruud Gullit etcetera, tu ne te dois pas te preoccuper de mes surmenages de traducteur que la chose importe.

Et maintenant je prends à te saluer mon ami tres cher,  en esperant que ma lettre soit pervenue à toi "rallegrandoti e tfelicitandoti", e che sia il primo sostegno che posso darti, nel bisogno che tu hai nonostante la tua fortunma avec les jolies femmes, di aumentare la stima che hai di te.

Au revoir spirituellement, mom cher Gregory, dans combien de lettres encore, j'espere

Et " nel frattempo, scrivimi al più presto ti prego, anche solo qualche rigo, per congedarmi se ti sono molesto, al che io seguiterò a scrivere al computer solo al tuo fantasma finchè mi popoli di dentro, o per dirmi altrimenti que t'est agreable et cher que je t'ecrie encore, e inviarmi il sollievo " le suolagement et le confort de quelque belle image de toi , a sostegno del mio discorso con te nella tua lontananza, alle quali suivront, dans mon joie plus vive, , les plus belles que je peux realiser ou recueillir de moi, de mon entourage, et de la ville ou de la terre où je vis.

En te saluant conclusivement et en en adressant mon salut et mes felicitations à tes parents et à tes familiaux,

                             avec affection d'ami

                            

qwui te dois bien plus et infinitement plus de ce  que tu ne crois, peut etre sa rentrèe meme dans le genre humain, comme je chercherai de t'expliqwue ensuite, 

 

 

 

Prima lettera

 

                                              Mantova, 31 Aout

 

Mon cher Gregory,

 

excuse- moi si  dans le meme jour que tu viens d' arriver à Maasmechelen et je me retrouve à Mantoue, je déja t' écris, mais si pour un' urgence, qui m' est inajournable, je sens déjà le besoin de te parler, c'est parce que je suis déja contraint à l' effort à ne te perdre à l' interieur de moi, où tu n'est plus qu' un fantome qui s' est evanoui dans la memoire, et ainsi à vaincre la force  de l'oubli e du désintéressement qui en me t'efface, si j' intends rester absolutement fidele à mon affection residuelle pour toi, et à l' entente avec toi de echanger entre nous des conseils et des communications en nous tutoyant.

C'est la pure véritè que je t' avoue, mon cher Gregory, j' ai perdu complètement ton image interieure, je ne te vois plus dans mon imagination, où ne survive que quelq'un de tes gestes abstraits et le souvenirs des nos mots, et toujours plus vague y est le ton de ton ame que y se reflechissait, j'ai perdu avec desolation chaque vision de ton etre physique et de ton visage ainsi joli, de ton sourire et de tes manieres ainsi charmantes, dans ta politesse avec moi et tes tours d'adresse aimable avec les femmes, par un proces funeste qui était dejà en acte quand nous étions encore ensemble dans l' Auberge d'Alghero, alors que dans une sorte de punition affreuse pour avoir ri au nez d'elle, dans ma memoire est inoubliable, épouvantable, le grand visage de la femme ogresse qui à " Le Paguro" devorait la pizza.

Mais je suis impénitent, mon cher Gregory, et en me resouvenant d'elle j'en ris encore, de bon coeur, et de nouveau je peux ainsi un peu me soulever de ma tristesse .

Est ce que quelque chose pourra pour moi renaitre de ton image vivante, dans les photos que j'attends comme un miracle de retirer demain?

J'en suis très douteux, pour le moment, pour la qualitè mecanique inferieure des moyens utilisès, et la fugacitè des circostances dans lequelle j'ai etè contraint à te prendre où a nous faire prendre, meme pour eviter de te contrarier .  

Et je crains que la perte de chaque trace sensible de toi, qui de plus en plus s' estompe en moi, comme il arrive de l'ame avec la perte du corps, n' entraine la perte meme de chaque realitè interieure de toi qui en moi survit.

Donc si tu acceptes que je puisse  encore  t'ecrire, que je te sois fidele dans l' espace et le temps au delà de tout, pourrais tu, en me secourant, m' envoyer quelque belle image de toi, qui avec celles que j'ai pris m'aide a te rappeller et à te revifier de plus en plus en moi?

Alors je pourrais t'écrire ensuite, puisque je suppose que ça peuve t'interesser, t'aider ou t'amuser, en respondant à toutes les questions que tu me poses sur la realitè actuelle et historique de l' Italie, ou des faits du monde, t' envoyer avec les informations les photos ou les cassettes de chaque genre qui t'interessent, te parler de ce que tu veux savoir de ma vie scolastique de professeur et que je mene avec mes élèves, ou de ma vie personnelle ultérieure ou de mon activitè d' écrivain, ainsi comme j'ai interet à apprendre de toi, pour la seule sollecitude que j' ai pour ta personne et pour t'aider, pour te conseiller, de ta vie scolastique d'élève, de tes succes et de tes difficultés,  et des autres problemes personnels desquels tu sois motivè à me parler, sans aucune intention indiscrete bien sur, comme de la realitè de Masmechelen et de la Belgique,  ou de la vie et de la façon de vivre de la jeunesse, et des evenements culturels et de l'art de ton pays plus en general.  

Et comme je t'avais anticipé, si tu n'as rien en contraire, je pourrais te faire révivre dans ma cronique licteraire, selon mon point de vue, les jours de Fertilia des nos vacances sardes, dans le petit livre que je suis en train d'en ècrire.

Mais est ce que j'écris bien en francais? Ou est ce que je fais beaucoup de fautes et que mon français est faux? Si c'est comme ça, - je m'aide avec le dictionnaire à chaque detour, et de toute façon je t'assure que c'est un tour de force bien fatigant...-, et si j'ai fait des fautes graves et grossieres, tu dois etre inesorable, mon cher professeur, marquer sur mes lettres des gros signes rouges et bleus impytoiables,  et  me donner la note mauvaise, en utilisant une fotocopie que tu peux m'envoyer.

Aussi, si tu veux tenter de m'écrire en italien , je pourrais faire le meme avec plus de délicatesse, bien sur, sur chaque effort que tu ais a faire.

( C'est pour te donner un aide, dans ce sens, que j' ai rédoublé cette lettre par sa traduction en italien, avec laquelle tu pourras la comparer.)

Pas des problemes, mon ami flammand,je suis en correspondence avec un jeune homme tunisien qui m'ecrit en franco-arabo-italien,  et si  dans ses lettres , quand il m'ecrit de lui rendre le service de lui envoyer " una maglia con la nemero da dietro 10 da " raod gelide il djocatori da samdoria... ma dal taille "Xl" non come la prima solo "L"", je peux comprendre bien fatigant qu' il veut que je lui envoie une maille du F. C. milan avec le numero 10 qui avait Ruud Gullit etcetera, tu n'as pas à te preoccuper de mes surmenages de traducteur qui la chose importe avec toi.

Et maintenant je te salue prends à te saluer mon ami tres cher,  en esperant que ma lettre soit pervenue à toi en te réjouissant et en te rendant heureux, "rallegrandoti e felicitandoti", et qu' elle soit le prémier soutien que je peux te donner, dans le bèsoin  que tu as malgrè ta chance avec les jolies femmes, de augmenter l' estime que tu as de toi.

Au revoir spirituellement, mom cher Gregory, dans combien de lettres encore, j'espere.

Et en attendant, écris - moi au plus tot, je te prie, meme s'il ne s'agit que de quelque ligne, helas, pour me congèdier si je suis pour toi importun, al che et alors je poursuivrai à n'écrire au computer que à votre fantome qui est dans ma tete, jusque à ce qu' il me peuple à l' interieur, io seguiterò a scrivere al computer solo al tuo fantasma finchè mi popoli di dentro, o per dirmi altrimenti ou pour me dire que qu'il t'est agreable et cher que je t'ecrie encore, et m' envoyer e inviarmi il sollievo " le soulagement et le confort de quelque belle image de toi" , à soutiens de mon discours avec toi dans l' eloignement, a sostegno del mio discorso con te nella lontananza, à les quelles suivront, dans mon joie plus vive, les plus belles images que je peux realiser ou recueillir de moi, de mon entourage, et de la ville ou de la terre où je vis.

En te saluant dècidément et en adressant mon salut et mes felicitations à tes parents et à ta famille,

                             avec affection d'ami

                             Odorico Bergamaschi

                             ( Dietrich Bergamaski)

qui te dois bien plus et infinitement plus de ce  que tu ne croit, peut etre sa rentrèe meme dans le genre humain, comme je voudrais chercher de t'expliquer ensuite, 

 

 

1 settembre 1995

 

E mi sei riapparso e posso averti ancora negli occhi, mio caro, mio ben amato, nella fotografia che io stesso ti ho scattato, - ove sei tra gli altri ragazzi francesi e una certa ragazza che intristiva e per la quale intristivi alla sua partenza, la foto che ti invio con le altre dei ragazzi francesi, una copia di quella che abbiamo scattato insieme, e di un'altra che mi vede con il cane di mia sorella nella casa dei miei genitori.

Che gioia già averti rivisto e poterti rivedere ogni qualvolta lo desideri che mi sorridi sempre, poterti scrivere e parlarti come se mi fossi accanto, pure se è solo una tua immagine che mi fronteggia, in un tuo solo aspetto, il tuo fantasma che mi ascolta...

Ma se tu realmente mi ascolti, se mi rispondi e con te realmente verrò dialogando e pur anche bisticciando ...

 

 

                                 My Adress, again

 

                                Odorico Bergamaschi

                                Viale Vaschi, 6

                                46100 Mantova

                                 Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Prima lettera

 

                                              Mantova, 31 Aout

 

Mon cher Gregory,

 

déjà j' aurais voulu sentais le besoin de t'écrire, et le voulais faire, déja, dans le meme jour que tu venais d' arriver à Maasmechelen et que je me retrouvais à Mantoue, aussi parce que j' ètais dèja et je suis encore déja contraint à l' effort à ne te perdre dans ma intérioritè, à l' interieur de moi, où tu n'ètais plus qu' un fantome qui s' est evanoui dans la memoire, pour et ainsi à vaincre ainsi la force  de l'oubli e de l' indifference qui en moi t'efface, si j' intends rester absolutement fidele à mon affection residuelle pour toi, et à l' entente de rester en corrispondence réciproque, * en échangeant entre nous des conseils et des communications en nous tutoyant.

C'est la pure véritè que je t' avoue, mon cher Gregory, si l'on fait l' exception de laquelle je parlerai par la suite, j' ai perdu complètement ton image interieure, je ne te vois plus dans mon imagination, où ne survive que quelq'un de tes gestes abstraits et le souvenirs des nos mots, et toujours plus vague y est le ton de ton ame que y se reflechissait, j'ai perdu avec desolation chaque vision de ton etre physique et de ton visage tellement joli, de ton sourire et de tes manieres qui étaient ainsi charmantes, dans ta politesse avec moi et tes tours d'adresse aimable avec les femmes, par un proces funeste qui était dejà en acte quand nous étions encore ensemble dans l' Auberge d'Alghero, alors que dans une sorte de punition affreuse pour avoir ri au nez d'elle, dans ma memoire est inoubliable, épouvantable, le grand visage de la femme ogresse qui à " Le Paguro" devorait la pizza.

Mais je suis impénitent, mon cher Gregory, et en me resouvenant d'elle j'en ris encore, de bon coeur, et de nouveau je peux ainsi un peu me soulever de ma tristesse .

Est ce que quelque chose aurait pu pour moi renaitre de ton image vivante, je me demandais, dans les photos que j'attendais, comme un miracle, de retirer les jours suivants?

J'en ètais très douteux, auparavant pour le moment, pour la qualitè mecanique inferieure des moyens utilisès, et la fugacitè des circostances dans lequelle j'ai etè contraint à te prendre où a nous faire prendre, meme pour eviter de te contrarier .  

Et je craignais que la perte de chaque trace sensible de toi, qui de plus en plus s' estompe en moi, comme il arrive de l'ame avec la perte du corps, n' entrainait la perte meme de chaque realitè interieure de toi qui en moi survit.

Donc si tu acceptes que je puisse  encore  t'ecrire, que je te sois fidele dans l' espace et le temps au delà de tout, pourrais tu, en me secourant, m' envoyer quelque belle image de toi, qui avec celles que j'ai pris m'aide a te rappeller et à te revifier de plus en plus en moi?

Alors comme j' aurais pu ou je pourrais t'écrire ensuite, puisque je suppose que ça peuve t'interesser, et t'aider ou t'amuser, ou etre aidé et amusé par toi, en repondant à toutes les questions que tu me aurais pu ou que tu me pourrais poser sur la realitè actuelle et historique de l' Italie, ou des faits du monde, en t' envoyant avec les informations les photos ou les cassettes de chaque genre qui t'interessent, te parler de ce que tu veux savoir de ma vie scolastique de professeur et que je mene avec mes élèves, ou de ma vie personnelle ultérieure ou de mon activitè d' écrivain, ainsi comme j'ai interet à apprendre de toi, pour la seule sollecitude que j' ai pour ta personne et pour t'aider, en te conseillant, s' il te sert, de ta vie scolastique d'élève, de tes succes et de tes difficultés,  et des autres problemes personnels desquels tu sois motivé à me parler, sans aucune intention indiscrete bien sur, comme de la realitè de Masmechelen et de la Belgique,  ou de la vie et de la façon de vivre de la jeunesse, et des evenements culturels et de l'art de ton pays plus en general.  

(Et comme je t'avais anticipé, si tu n'as rien en contraire, je aurais voulu et je voudrais te faire révivre  avec ma cronique licteraire, selon mon point de vue, les jours de Fertilia des nos vacances sardes, dans le petit livre que je suis en train d'en écrire).

 

Mais après telle desolation de plusieurs jours pour ta perte interieure ainsi soudaine, tu m' es reapparu, mon cher Gregory, et je peux te avoir encore dans me regard, mon bien aimè, dans la seule photo que je meme t' ai pris- où tu es entre les garcons et les fillettes françaises, en ayuant à tes épaules la jeune fille, si je bien me rappelle,  qui était ainsi triste et pour laquelle tu étais ainsi triste à son dèpart. E mi sei riapparso e posso averti ancora negli occhi, mio caro, mio ben amato, nella fotografia che io stesso ti ho scattato, - ove sei tra gli altri ragazzi francesi e una certa ragazza che intristiva e per la quale intristivi alla sua partenza, c'est à dire la photo que je t'envoie avec les autre des jeunes français, et avec une copie de la photo où nous sommes ensemble, la foto che ti invio con le altre dei ragazzi francesi, una copia di quella che abbiamo scattato insieme, e di un'altra che mi vede con il cane di mia sorella nella casa dei miei genitori.

Meme s'il ne s'agit que d'une image détachée de toi qui m' es en face*, dans un seul aspect de ton etre, et s'il n'ya en elle que ton fantome qui m'ècoute, quelle joie que pour elle j'aie pu dèja te rèvoir , et que je puisse te revoir toutes les fois que je voudras, enchantable  qui me souris toujours, et pouvoir t' écrire et te parler comme si tu m' etais à coté*, meme si l'on est que un image de toi qui m' es en face*, dans un seul aspect de toi, et s'il n'ya en elle que ton fantome qui m'ècoute...

Mais si tu reellement aura à m'écouter, à me rèpondre, si avec toi je serais réellement en train de dialoguer et meme de se disputer*... Che gioia già averti rivisto e poterti rivedere ogni qualvolta lo desideri che mi sorridi sempre, poterti scrivere e parlarti come se mi fossi accanto, pure se è solo una tua immagine che mi fronteggia, in un tuo solo aspetto, il tuo fantasma che mi ascolta...

Ma se tu realmente mi ascolti, se mi rispondi e con te realmente verrò dialogando e pur anche bisticciando ...

Est ce que tu as répris l'école?

Comment t'amuse-t-elle ou t'ennuie la vie en Belgique?

Ici, en Italie, je vis partagé entre la reprise des activités

scolastiques et ma dèrniere étè le long les plages du Po, ou il y a beaucoup de soleil, de sable, beaucoup de vert des peupliers, mais aussi de solitude que je ne voudrais pas vivre, que les présences que je ne désire...

Et ma ville, Mantoue, ce qu'elle est infinitement belle et ordinaire pour moi....

Certainement, si la Belgique que tu méprises, est mèprisable pour sa platitude humaine, parce que il n'y a pas elan, effort crèateur, feu de l' ésprit ou dèreglement fantastique, qui ne soit incompris ou amenè ( induit) forcè ( poussé) à réculer pour ses gens compactes, Mantoue en est bien une ville honoraire...

 

Et maintenant je te salue prends à te saluer mon ami tres cher,  en esperant que ma lettre soit pervenue à toi en te réjouissant et en te rendant heureux, "rallegrandoti e felicitandoti", et qu' elle soit le prémier soutien que je peux te donner, dans le bèsoin  que tu as malgrè ta chance avec les jolies femmes, de augmenter l' estime que tu as de toi.

Au revoir spirituellement, mom cher Gregory, dans combien de lettres encore, j'espere.

Et en attendant, écris - moi au plus tot, je te prie, meme s'il ne s'agit que de quelque ligne, helas, pour me congèdier si je suis pour toi importun, al che et alors je poursuivrai à n'écrire au computer que à votre fantome qui est dans ma tete, jusque à ce qu' il me peuple à l' interieur, io seguiterò a scrivere al computer solo al tuo fantasma finchè mi popoli di dentro, o per dirmi altrimenti ou  meme seulement pour me dire, j' èspere,  qu'il t'est agreable et cher que je t'ecrie encore, pour me poser quelque question, et m' envoyer e inviarmi il sollievo " le soulagement et le confort de quelque belle image de toi" , à soutiens de la seule image que j'ai, et de mon discours que j' entretiens avec toi dans l' eloignement, a sostegno del mio discorso con te nella lontananza, à les quelles suivront, dans mon joie plus vive, les plus belles images que je peux realiser ou recueillir de moi, de mon entourage, et de la ville ou de la terre où je vis.

En te saluant dècidément et en adressant mon salut et mes felicitations à tes parents et à ta famille,

                             avec affection d'ami

                             Odorico Bergamaschi

                             ( Dietrich Bergamaski)

qui te dois bien plus et infinitement plus de ce  que tu ne croit, peut etre sa rentrèe meme dans le genre humain, comme je voudrais chercher de t'expliquer ensuite, 

 

Mais est ce que j'écris bien en francais? Ou est ce que je fais beaucoup de fautes et que mon français est faux? Si c'est comme ça, - je m'aide avec le dictionnaire à chaque virage, et de toute façon je t'assure que c'est un tour de force bien fatigant...-, et si j'ai fait des fautes graves et grossieres, dans ta reponse eventuelle si tu m'as à repondre tu dois etre inesorable, mon cher professeur, et marquer sur mes lettres des gros signes rouges et bleus impytoiables,  en me donnant impitoyable la note mauvaise, sur une photocopie de ma lettre que tu peux m'envoyer.

Aussi, si tu veux tenter de m'écrire en italien , je pourrais faire le meme avec plus de délicatesse, bien sur, par chaque effort que tu ais a faire.

( C'est pour te donner un aide, dans ce sens, que je pourrais te rédoubler cette lettre par sa traduction en italien, avec laquelle tu pourras la comparer.)

Pas des problemes, mon ami flammand,je suis en correspondence avec un jeune homme tunisien qui m'ecrit en franco-arabo-italien,  et si  dans ses lettres , quand il m'ecrit de lui rendre le service de lui envoyer " una maglia con la nemero da dietro 10 da " raod gelide il djocatori da samdoria... ma dal taille "Xl" non come la prima solo "L"", je peux comprendre, bien fatigant, qu' il veut que je lui envoie une maille du F. C. Milan avec le numero 10 qui avait Ruud Gullit etcetera, tu n'as pas à te preoccuper de mes surmenages de traducteur qui la chose importe avec toi.

 

1 settembre 1995

 

E mi sei riapparso e posso averti ancora negli occhi, mio caro, mio ben amato, nella fotografia che io stesso ti ho scattato, - ove sei tra gli altri ragazzi francesi e una certa ragazza che intristiva e per la quale intristivi alla sua partenza, la foto che ti invio con le altre dei ragazzi francesi, una copia di quella che abbiamo scattato insieme, e di un'altra che mi vede con il cane di mia sorella nella casa dei miei genitori.

Che gioia già averti rivisto e poterti rivedere ogni qualvolta lo desideri che mi sorridi sempre, poterti scrivere e parlarti come se mi fossi accanto, pure se è solo una tua immagine che mi fronteggia, in un tuo solo aspetto, il tuo fantasma che mi ascolta...

Ma se tu realmente mi ascolti, se mi rispondi e con te realmente verrò dialogando e pur anche bisticciando ...

 

 

                                 My Adress, again

 

                                Odorico Bergamaschi

                                Viale Vaschi, 6

                                46100 Mantova

                                 Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

Prima lettera

 

                     

 

 

                                          Mantova,   septembre 95

 

Mon cher Gregory,

 

j' aurais voulu déja t' écrire le meme jour que tu venais d' arriver à Maasmechelen et que je me retrouvais à Mantoue, tellement j' étais déja contraint à l' effort pour ne te perdre dans ma intérioritè, où tu n'ètais plus qu' un fantome qui s' est evanoui dans la memoire, et pour vaincre ainsi la force  de l'oubli e de l' indifference qui en moi t'efface, si j' entends rester absolutement fidele à mon affection pour toi, et à l' entente de rester en corrispondence réciproque, * en échangeant entre nous des conseils et des communications "en nous tutoyant".

C'est la pure véritè que je t' avoue, mon cher Gregory, -si l'on fait l' exception de laquelle je parlerai par la suite,- j' ai déja perdu complètement ton image interieure, je ne te vois plus dans mon imagination, où ne survive que quelq'un de tes gestes abstraits et des nos mots, et toujours plus vague y est le ton de ton ame qui s'y réfléchissait, j'ai perdu avec désolation chaque vision de ton etre et de ton visage tellement joli, de ton sourire et de tes manieres qui étaient ainsi charmantes, quand tu usais de toute ta politesse avec moi, et de tes tours d'adresse aimables avec les femmes, par un proces funeste d'annulation qui était déja en acte quand nous étions encore ensemble dans l' Auberge d'Alghero, alors que dans une sorte de punition affreuse pour avoir ri au nez d'elle, dans ma memoire est inoubliable, épouvantable, le grand visage de la femme ogresse qui à " Le Paguro" devorait la pizza.

Mais je suis impénitent, mon cher Gregory, et en me souvenant d'elle j'en ris encore, de bon coeur, et de nouveau je peux ainsi un peu me soulever de ma tristesse .

Est- ce- que quelque aspect aurait pu pour moi renaitre de ton image vivante, je me demandais, dans tes photos que j'attendais comme un miracle de retirer les jours suivants?

J'en étais très douteux, auparavant, pour la qualité inferieure des moyens utilisés, et la fugacité des circostances dans lequelles j'ai été contraint à te prendre où a nous faire prendre, meme pour eviter de te contrarier .  

Et je craignais que la perte de chaque trace sensible de toi, qui de plus en plus s' estompe en moi, comme il arrive de l'ame avec la perte du corps, n' entrainait la perte meme de chaque realité intérieure de toi qui en moi survit.

Alors comme j' aurais pu ou je pourrais t'écrire ensuite, et t'aider ou t'amuser, ou etre aidé et amusé par toi, en repondant à toutes les questions que tu me aurais pu ou que tu me pourrais poser?* (sur la realité actuelle et historique de l' Italie, ou des faits du monde qui t' impressionnent, en t' envoyant avec les informations les photos ou les cassettes de chaque genre qui t'interessent, te parler de ce que tu veux savoir de ma vie scolastique de professeur et que je mene avec mes élèves, ou de ma vie personnelle ultérieure ou de mon activitè d' écrivain, ainsi comme j'ai intéret à apprendre de toi, en te conseillant, s' il te sert, ce qui t' intéresse me dire de ta vie scolastique d'élève, de tes succes et de tes difficultés,  et des autres problemes personnels desquels tu sois motivé à me parler, sans aucune intention indiscrete, bien sur, comme de la réalitè de Maasmechelen et de la Belgique,  ou de la vie et de la façon de vivre de la jeunesse, et des événements culturels et de l'art de ton pays plus en general.  

(Et comme je t'avais anticipé, à l' Auberge, si tu n'as rien en contraire, je aurais voulu et je voudrais te faire révivre  par ma cronique littéraire, selon mon point de vue, les jours de Fertilia des nos vacances sardes, dans le petit livre que je suis en train d'en écrire).

 

Mais après telle desolation de plusieurs jours pour ta perte interieure ainsi soudaine, tu m' as réapparu, mon cher Gregory, dans la seule photo que moi meme (je) t' ai pris, où tu souris entre les garcons et les fillettes françaises, en ayant à tes épaules la jeune fille, si je bien me rappelle,  qui était ainsi triste et pour laquelle tu étais ainsi triste à son départ.

C'est la meme photo que je t'envoie avec une autre des jeunes français, et avec une copie de la photo où nous sommes ensemble.

Quelle joie que par cette photo j'aie pu te révoir , et que je puisse te revoir toutes les fois que je voudrai, où tu y  es enchantable qui me souris toujours, meme s'il ne s'agit que d'une image détachée de toi, qui te rèconduit dans un seul aspect de ton etre, et s'il n'ya en elle que ton fantome qui me regarde et qui m'écoute...

Mais si tu réellement m'écouteras, répondras à ma lettre, si avec toi je pourrai réellement dialoguer et meme disputer*...

Est- ce que tu as repris l'école?

Comment t'amuse-t-elle ou t'ennuie la vie en Belgique?

Ici, en Italie, je vis partagé entre la reprise des activités

scolastiques et la fin de mon étè le long des plages du Po, où il y a - ou il y avait- beaucoup de soleil, de sable, beaucoup de vert des peupliers, mais aussi ( beaucoup) de solitude comme je ne voudrais pas,  que les présences que je ne désire du tout...

Et ma ville, Mantoue, qu'elle est infiniment belle et ordinaire pour moi...

Certainement, si la Belgique que tu dètestes, est détestable pour sa platitude humaine, parce que il n'y a pas d' élan, d' effort créateur, de feu de l' ésprit ou imagination fantastique, qui ne soit incompris ou amené à réculer pour ses gens compactes, Mantoue en est bien une ville honoraire...

Mais avec la reprise de toutes les activités, Septembre m' emmene un entrain vif et varié qui apaise ma malinconie, et ses coleurs et sons ont une douceur gris perle qui me tonifie et m'harmonise, meme si dans la chair je ressent encore l' été enivrant...   

Et maintenant je te salue mon ami bien aimè, en espérant que ma lettre soit parvenue à toi en te réjouissant et en te rendant heureux, "rallegrandoti e felicitandoti", et qu' elle soit le premier soutien que je peux te donner, dans le bésoin que tu as malgrè ta chance avec les jolies femmes, de augmenter l' estime que tu as de toi.

Au revoir spirituellement, mon cher Gregory, dans combien de lettres encore, j'espére.

Et  écris - moi au plus tot, je te prie, meme s'il ne s'agit que de quelque ligne, meme seulement pour me dire, j' espére, qu'il t'est agréable et cher que je t'écrive encore, pour me poser quelque question, et m' envoyer le soulagement et le confort de quelque ton belle image, à soutiens de la seule que j'ai de toi , et de mon discours que j' entretiens avec toi dans l' éloignement, à laquelle - ou auxquelles- suivront, avec mon joie plus vive, les plus belles images que je peux realiser ou recueillir de moi, de mon entourage, et de la ville ou de la terre où je vis.

En te saluant décidément et en adressant mon salut et mes felicitations aussi à tes parents et à ta famille,

                             avec affection d'ami

                             Odorico Bergamaschi

                             ( Dietrich Bergamaskii...)

qui te doit bien plus et infiniment plus de ce  que tu ne crois, peut etre sa rentrée meme dans le genre humain, comme je voudrais chercher de t'expliquer ensuite. 

 

Mais est ce que j'écris bien en francais? Ou fais-je beaucoup de fautes et mon français est faux? S' il en est ainsi - je m'aide avec le dictionnaire à chaque virage, et e t'assure que c'est un tour de force bien fatigant...-, et si j'ai fait des fautes graves et grossieres, dans ta reponse eventuelle tu dois etre inesorable, mon cher professeur, et marquer sur ma lettre des gros signes, rouges et bleus, en me donnant la note, sur une photocopie de ma lettre que tu peux m'envoyer.

Aussi, si tu veux tenter de m'écrire en italien, je pourrais faire le meme avec plus de délicatesse, bien sur, par chaque effort que tu aies à faire en ma langue.

( C'est pour te donner une aide, dans ce sens, que je pourrais te rédoubler cette lettre par sa traduction en italien, avec laquelle tu pourrais la comparer.)

Pas de problemes, mon ami flammand, je suis en correspondence avec un jeune homme tunisien qui m'écrit en franco-arabo-italien, et si dans ses lettres , quand il m'écrit de lui rendre le service de lui envoyer " una maglia con la nemero da dietro 10 da " raod gelide" il djocatori da samdoria... ma dal taille "Xl" non come la prima solo "L" ", je peux comprendre, bien fatigant, qu' il veut que je lui envoie une maille du F. C. Milan avec le numero 10 qui avait Ruud Gullit etcetera, tu n'as pas à te preoccuper de mes surmenages de traducteur que la chose importe avec toi.

 

                         Goodbye and my adress, again

 

                                Odorico Bergamaschi

                                Viale Vaschi, 6

                                46100 Mantova

                                 Italie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

Mio caro gregory,

 scusami se già ti scrivo, nello stesso giorno in cui stai arrivando a Maasmechelen ed io mi ritrovo a Mantova,

 

 

Seconda lettera

 

Mantova, 14 settembre 1995

 

 

Mon cher Gregory,

 

mon canari aussi a fait retour de son sejour, chez maman où il était tandis que je faisais mes vacances en Toscane et en Sardegne, et où il est resté jusqu' à la fin de la mue de son plumage. Et ainsi, maintenant il est chez moi, de nouveau, mon petit et adorable mignon, dont je prend soin , que j' alimente, et qui m' enfuit chaque fois que je m'approche...

Qui est-il qu'il me rappelle ainsi?...

J'ai eu les premiers contacts avec mes nouveaux et mes précédents élèves, et je ne me preoccupe, pour le moment,  que de les amuser en projetant et expliquant des films, que d' enseigner la videoécriture aux Nèophytes, dans ces semaines que pour les authoritès scolastiques auraient à etre d'accueil.

Bien sur!

Entre- temps l' été  est fini, par les pluies et les orages

qui vont à grossir et à faire déborder les rivières du Nord de l' Italie, comme l 'histoire se répéte à chaque automne, par l' incurie generale de mes connationaux, qui mettent le mors de la cémentation industrielle et du developpement urbain au cours et au lit des vallées des fleuves, déboisent et font s' abattre dans les eaux les flancs des pentes, édifient maisons d' exploitation agricole et étables entre les francs-bords...

 Et après admirables, louables, ils pleurent ou ils risquent et ils perdent la vie, pour ses vaches et porcelets et porcs gemissants dans l' eau...

Et pour tous les salariés et pour les fonctionnaires de l'état comme moi, avec la nouvelle loi financière qu'on approuvera, on n' a que la perspective de plus de obligations et moins de droits et de pouvoir d'achat.

Helas!.....